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Les brèves du Sgen-CFDT | 26 novembre 2017 |
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Des documents
La lettre de mission de Pierre Mathiot pour l’avenir du baccalauréat L’objectif est de dessiner les contours d’un nouveau baccalauréat pour 2021 Plan étudiants, un pas vers l’excellence ? Interroge l’institut Montaigne « Les universités vont désormais avoir la responsabilité du choix de leurs étudiants : elles seront en charge d’évaluer les dossiers de candidature au regard des attendus des formations, et d’aiguiller, en coordination avec les rectorats, l’orientation précoce des jeunes qui présenteraient un risque d’échec. » Résolution collaborative de problèmes OCDE PISA Les élèves qui suivent des cours d’éducation physique ou pratiquent une activité sportive d’une manière plus générale ont souvent un état d’esprit plus ouvert à l’égard de la collaboration. Pauvreté mondiale, Ester Duflo était l’invitée de France culture Esther Duflo, économiste et professeure au MIT : « il y a un énorme gaspillage de générations d’enfants qui vont à l’école et n’apprennent rien. » Cela concerne aussi la France, parce que la pauvreté se « transmet » des parents aux enfants CAE Lutte contre le décrochage scolaire : CNESCO les 9 et 10/11/2017 Vidéos des conférences Quelles politiques sont menées à l’étranger pour lutter contre le décrochage scolaire ? Quels dispositifs concrets et évalués ont été mis en place dans d’autres pays ? Comment identifier les jeunes à risque de décrochage scolaire dans un objectif de prévention ? Quelles solutions de « raccrochage » peuvent être proposées ? Revue de presse choisie Le projet de texte de loi pour l’entrée à l’université présenté en Conseil de ministres Educpros ou Le Monde Les proviseurs désemparés par les délais trop courts du Plan Étudiants Vousnousils Formuler des vœux sans les classer risque d’être un vrai problème alertent des chercheurs Le Monde La nouvelle plateforme s’appellera « Parcoursup » Le Monde Trois questions à Frédérique Vidal sur « Parcoursup » L’Obs Le casse tête des élèves de terminale France Info Claude Lelièvre fait l’historique des filières au lycée Le Café Pédagogique Manuels scolaires : JM Blanquer ne veut plus les financer au collège Caissedesdépôtsdesterritoires Bientôt des DUT en 3 ans ? EducPros Un collège de Vincennes doit déménager après une rénovation « toxique » pour les personnes Le Monde Les pauvres toujours oubliés de l’école Le café Pédagogique Les compétences collaboratives des élèves Le Café Pédagogique Plus on collabore, plus on fait d’EPS, plus on est performant Les filles meilleures que les garçons pour travailler en groupe Huffingtonpost Un stage syndical « triant les membres sur la base de leur origine » dénoncé par le ministre Le ministre va porter plainte pour diffamation contre la réaction de SUD Éducation. Non il n’y a pas de racisme d’état en France. Résolution collective de problèmes (PISA) : TOUT Educ La France en dessous de la moyenne. La diffusion de photos d’élèves nus déclenche une grève dans un lycée Le Parisien Pour adresser un message au rédacteur de la brève LES BREVES ILLUSTREES
Des pédagogies coopératives pour progresser ensemble Le Monde « Les résultats de la recherche sont constants : à l’école primaire, les pédagogies coopératives se révèlent non seulement favorables aux apprentissages mais elles rejaillissent également sur la qualité de vie à l’école, le climat scolaire et l’estime de soi. Atténuer la compétition entre élèves renforce la motivation et leur satisfaction scolaire. Pourtant, en France comme dans de nombreux pays, domine toujours ce que Nathalie Mons nomme la « pédagogie du bus » : le même contenu est proposé au même moment à tous les élèves d’une classe réputée de niveau homogène. « La coopération entre pairs à l’école primaire n’est pas inscrite dans le paradigme scolaire français. Alors qu’elle fait partie de la culture anglo-saxonne - on la retrouve aux Etats-Unis ou dans les pays nordiques et asiatiques… » Coopérer stratégie pédagogique incontournable de l’école…. Trop souvent oubliée…  Compétences collaboratives des élèves (PISA 2015) Café Pédagogique « Globalement il y a un lien entre les compétences collaboratives et le niveau atteint dans Pisa. La moitié des élèves très performants en maths science et littératie sont aussi excellents en résolution col-laborative de problèmes. 74% des élèves faibles en maths et sciences ont aussi un niveau faible en ce domaine. Pisa montre aussi un lien entre la collaboration et l'activité physique. Plus on suit de cours d'EPS plus les compétences collaboratives sont développées. » Enfin l’EPS sert à quelque chose…  Collaborer suite. Les élèves qui ont des charges familiales (prendre soin d'une personne, avoir des responsabilités familiales) développent davantage de compétences collaboratives. Selon Pisa il y a aussi un lien entre ces compétences et les pratiques pédagogiques. Les élèves qui discutent de leurs idées ou travaux en classe, qui expérimentent, qui participent à des débats, expliquent leurs idées, développent davantage leurs compétences collaboratives. » L’OCDE explique que la pédagogie est importante….  Pour la mixité garçons/filles, analyse dans 33 pays. Café Pédagogique « Ce qui est nouveau dans cette étude c'est qu'elle met en évidence le fait que les résultats des garçons en lecture sont particulièrement liés au pourcentage de filles dans l'école. Plus ce pourcentage est élevé meilleurs sont leurs résultats. L'importance de ce mécanisme laisse à penser que les garçons sont influencés directement par la présence des filles et que l'effet ne résulte pas indirectement d'un meilleur climat scolaire généré par le fort pourcentage de filles. » Plus il y a de filles, plus les garçons apprennent… Est-ce réciproque ?  Affectation Postbac, ne pas classer les voeux est problématique Le Monde Des universitaires qui travaillent sur les questions d’affectation scolaire « sont inquiets » : « s’il n’y a pas de voeux ordonnés, il n’y a pas d’algorithme d’affectation », à la différence de la version actuelle d’APB. La procédure reposera sur des vagues de propositions faites aux candidats, que ces derniers pourront accepter ou refuser, « les désistements servant à proposer des places à d’autres candidats, qui pourront les accepter ou les refuser, etc. » Combien de temps ces vagues de désistements peuvent-elles durer ? C’est ce qui inquiète les chercheurs dans une note d’analyse adressée au ministère. « Cette procédure revient à répliquer ce que fai-sait l’algorithme, sauf qu’elle va le faire partiellement et bien plus lentement ». Le risque majeur, voir les listes d’attente s’allonger » ; les bons élèves, mieux « classés » par les formations, pourraient monopoliser chacun jusqu’à dix places, là où auparavant l’algorithme leur proposait uniquement un choix. Que les bons élèves monopolise les bonnes places c’est bien normal non ?...  Projet de réussite éducative à Grigny, pour ne pas oublier les pauvres. Café Pédagogique L’idée est simple. Les parents les plus démunis et l’école sont trop éloignés et cet éloignement nuit à la réussite des enfants. Les parents ont peur d’entrer dans les établissements, craignant de se voir repro-cher l’échec de leur enfant, y voyant un lieu hostile qui n’est pas pour eux. Les enseignants souvent se sentent désarmés face à des élèves qu’ils ont du mal à faire progresser et à des parents invisibles. Ils connaissent mal ce monde. Généralement, ils ne vivent pas sur place. La dis-tance s’est accrue avec la réforme de « la masterisation », les cinq ans d’études désormais nécessaires pour devenir profs, qui a rendu le métier encore plus homogène socialement.. On oublie plus facilement les pauvres que les riches hélas…  En soutenant qu’il n’existe « qu’une langue » française, JM Blanquer a fait bondir les linguistes. Libération : « Jeudi matin à Aix-en-Provence, le maître de conférences en sociolinguistique Médéric Gasquet-Cyrus a ouvert son cours par une petite question. Il a demandé à ses étudiants d’analyser cette phrase : « Il y a une seule langue française, une seule grammaire, une seule République. » Les étudiants, en l’occurrence en première année de sciences du langage, « ont pensé qu’il s’agissait d’une bêtise trouvée dans une copie », raconte l’universitaire. « Ils ont été très étonnés quand ils ont appris de qui venait la phrase.» Les langues, comme la diversité, sont notre bien commun…  Bienveillance, éviter les conflits, la méthode du « Message Clair » (AEF) C’est dans la province canadienne de Québec que l’enseignante Danièle Jasmin a développé la méthode dite du « message clair ». Cette technique de communication non violente permet de faire travailler les élèves sur leurs émotions, le développement de leur empathie et leur capacité d’écoute. Le professeur des écoles Bruce Demaugé-Bost l’utilise avec les 28 élèves de sa classe multiniveaux située en REP + (Réseau d’éducation prioritaire renforcé), à l’école Federico-Garcìa-Lorca de Vaulx-en-Velin, près de Lyon. « Avant, quand un élève était gêné par son voisin, le ton pouvait vite monter. Maintenant, il informe son camarade qu’il a un “message clair” pour lui. » S’ensuit alors un échange codifié, qui va de l’exposé de la situation à la proposition d’une solution, en passant par la verbalisation des émotions de l’émetteur du « message clair ». Dire clairement les choses c’est pas toujours facile…  |
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Sgen-CFDT, un SYNDICAT GÉNÉRAL Dans le champ professionnel de l'Éducation, le Sgen-CFDT est la seule organisation qui ne soit pas fondée sur le corporatisme. Son organisation est au contraire territoriale, le plus souvent sur la base des académies, et regroupe l'ensemble des personnels de l'Éducation nationale, de l'Enseignement supérieur et de la recherche publique, de Jeunesse et Sports et de l'Enseignement Agricole Public.
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